Renault et 3 syndicats signent l'accord de compétitivité
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admin
Le 13 mars 2013 à 11h15
Modifié 13 mars 2013 à 11h15
Le PDG de Renault, Carlos Ghosn et trois syndicats ont signé mercredi l'accord de compétitivité qui prévoit 7 500 suppressions nettes d'emploi et une augmentation du travail en contrepartie du maintien en activité des usines françaises.
M. Ghosn, Laurent Smolnik pour Force Ouvrière, Dominique Chauvin pour la CFE-CGC et Fred Dijoux pour la CFDT (Confédération française démocratique du travail) ont paraphé l'accord au siège du constructeur automobile à Boulogne-Billancourt devant la presse.
L'accord prévoit notamment une augmentation de 6,5% du temps de travail
"Renault et trois de ses organisation syndicales les plus représentatives ont signé un accord qui fera date dans l'histoire des négociations sociales françaises", s'est ensuite félicité le numéro un de Renault."Il s'agit d'un accord équilibré", a-t-il assuré et "il donne à Renault les moyens de renouer avec la compétitivité en France".
L'accord prévoit notamment une augmentation de 6,5% du temps de travail, une refonte des comptes épargne temps, un gel des salaires en 2013 et 7 500 suppressions nettes d'emploi d'ici fin 2016. Le constructeur s'est engagé en échange à ne fermer aucune de ses cinq usines dans l'Hexagone et à leur assurer une activité minimum de 710 000 véhicules par an, soit 630.000 véhicules Renault et 80 000 provenant de partenaires, qui pourraient être Daimler et Nissan.
(AFP)
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