Alstom Maroc vise une cinquantaine de recrutements par an
Rencontré lors du 16e Forum EHTP-Entreprises, Hassane Boutchiche, DRH d’Alstom Maroc, nous expose les grandes lignes de la politique de recrutement du Groupe.
Alstom Maroc vise une cinquantaine de recrutements par an
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Dalal Saddiqi
Le 27 mars 2013 à 10h35
Modifié 27 mars 2013 à 10h35Rencontré lors du 16e Forum EHTP-Entreprises, Hassane Boutchiche, DRH d’Alstom Maroc, nous expose les grandes lignes de la politique de recrutement du Groupe.
Le stand d'Alstom est submergé par les étudiants. Une excellente occasion de recruter vos compétences à la source ?
Effectivement, un des moyens de bien recruter consiste à être en amont des ressources et des compétences.
L’unité Alstom Maroc est en plein développement. Nous avons pratiquement doublé nos effectifs en 2012 en embauchant 50 à 60 ingénieurs et techniciens bac+2 et bac+3. Et nous tablons sur une cinquantaine de recrutements par an, techniciens ou ingénieurs, que ce soit dans le domaine du transport, de l’énergie ou des réseaux électriques intelligents.
Vous êtes également signataire de conventions de partenariat avec l'EHTP, l'EMI et l'ENSET. En quoi cela permet-il un meilleur recrutement?
Le but de ces partenariats est de faire connaître la marque employeur Alstom auprès des grandes écoles, mais également d’être associé dans les programmes pédagogiques et de présenter nos offres de stage.
Parallèlement, nous encourageons les étudiants à venir visiter nos projets, nos chantiers et nos sites. Ainsi, ils peuvent prendre conscience de nos métiers, de nos activités et de notre culture d’entreprise.
En dehors des salons et forums, comment gardez-vous le contact avec les étudiants de ces écoles?
J’ai des interlocuteurs tout au long de l’année : des directeurs, des équipes pédagogiques, ainsi que des responsables des relations entreprises de chaque école.
Je ne vous cache cependant pas que c’est souvent Alstom qui prend l’initiative de la rencontre. Nous ne sommes donc pas encore dans une dynamique où l’école développe sa relation avec l’entreprise. Mais tout cela est en train de se construire progressivement.
Vos partenariats permettent également aux écoles de consulter Alstom concernant l’adéquation de leurs formations avec vos besoins en ressources. Comment cela s’organise-t-il ?
Nous sommes consultés concernant la création de nouveaux modules en adéquation avec le programme. C’est le cas notamment dans le domaine du transport ferroviaire et de la maintenance, des domaines qui sont au cœur même du métier d’Alstom. Nous sommes également consultés sur le contenu du programme et nous avons d’ailleurs un directeur des relations extérieures techniques Alstom, en France, qui est en relation directe avec les directions des départements des laboratoires de recherche des différentes écoles.
Il opère une veille technologique et s’assure que les écoles développent des programmes en adéquation avec nos besoins d’aujourd’hui et de demain pour constituer une pépinière de jeunes talents et préparer l’avenir.