Alarko confirme que son contrat a bien été résilié par l’ONCF
En off, l’entreprise turque reconnaît qu’elle n’a pas été à l’initiative de son départ.
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Jamal Amiar et Mohamed Roudani
Le 13 mai 2013 à 12h30
Modifié 13 mai 2013 à 12h30En off, l’entreprise turque reconnaît qu’elle n’a pas été à l’initiative de son départ.
En dépit de sa déclaration portant sur l’annulation d’un contrat la liant à l’ONCF, une source proche du dossier au sein d’Alarko précise que c’est bien l’ONCF qui a résilié le contrat. Ce qui met Alarko dans l’obligation de quitter à terme le tronçon n°1 de la LGV sur lequel elle travaille.
Sur le terrain, Médias 24 a constaté que le personnel reste présent sur la base de vie de la société situé à Hjar Nhel sur la commune de Had Gharbia, une petite bourgade située à l’intérieur des terres entre Tanger et Asilah.
L’activité sur le site des bureaux de la société n’y est pas particulièrement fébrile et certains bureaux semblaient en voie d’être déménagés, selon nos observations.
La communication autour du dossier LGV selon les termes des contrats signés entre l’ONCF et les parties tierces « est de l’unique ressort de l’Office ». Du coup, si Alarko communique officiellement sur ce dossier à Istanbul car elle en a l’obligation légale, au Maroc seule l’ONCF peut le faire.
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