On ne change pas un produit qui gagne. Au contraire, on continue sur sa lancée ! Inwi recevait hier jeudi les acteurs de switchers, des journalistes et des influenceurs du web pour présenter en avant-première trois épisodes de la deuxième saison de la série qui séduit de plus en plus une population de jeunes connectés.

Switchers 2 fait appel à des situations totalement nouvelles et pleines d’action et sera déclinée en 15 épisodes diffusés les dimanches sur Switchers.ma à partir du 2 juin.

Pour cette 2ème saison, de nouveaux visages inattendus et remarqués font leur entrée : Rachid Elwali ou Ahmed Chawki.  

En outre, un concept inédit au Maroc est développé par Inwi, intitulé : « Switchers l’enquête ». Il s’agit d’impliquer l’internaute dans l’aventure par des missions confiées par Amine (le héros) en  personne et ce pendant toute la durée de la saison 2.  Ainsi, l’internaute fait partie pleinement de l’intrigue de la série comme un acteur à part entière.

La participation passe par la création d’un compte  personnalisé par l’internaute et par le cumul d’un score au fur et à mesure de son investissement dans « Switchers l’enquête ». Ce jeu primera l’un des « consom’acteurs » (consommateur et acteur) participant à la mission de la semaine par un tirage au sort hebdomadaire.

D’un autre côté, on ne voit plus « la puce Inwi » dans les épisodes de Switchers 2, ce qui détache la série de la publicité. Cette initiative est compensée par un bonus en fin d’épisodes, là où il y a le rappel de la marque. Ce qui est subtil et efficace car actuellement il est ancré dans l’esprit de l’internaute qu’Inwi est la couveuse de Switchers.

Par l’engagement et l’esprit de jeu, l’opérateur ne cesse de séduire ses clients et poursuit sa modernisation en s’orientant vers le marketing du contenu, un contenu qui crée le buzz.

Cette 2^ème  saison fait suite à l’engouement quantitatif et qualitatif de la 1ère saison. Quantitatif par le fait que Switchers 1, avec  ses 15 millions de vues, est devenu le contenu, développé par une marque, le plus vu de toute l’Afrique en 2012. Et qualitatif en termes de commentaires positifs sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter et Youtube).